Posez cette question et vous recevrez probablement une de deux réponses suivantes : « Oui. Les personnes gays choissisent d’ être homosexuel-le-s »ou « Non. La préférence sexuelle est biologiquement déterminée ». Et si aucune de ces réponse n’etait juste ?
Ces deux réponses ont quelque chose en commun. Avec chacune d’elle, la position morale qu’elle sous-entend cherche et trouve des justifications scientifiques commodes. Comme toujours la bonne réponse, en tout cas la moins mauvaise, pourrait se trouver loin des positions idéologiques dans une attitude inclusive.
Le Huffington Post, dans son edition du 25 octobre, propose un article de Marcia Mallory qui essaye de trouver cette réponse inclusive : les personnes gays, comme toutes les autres personnes, voient leur comportement, y compris sexuel, influencer par leur histoire génétique, éducative et culturelle mais, comme toutes les autres personne, elles ont aussi le droit de s’engager dans n’importe quel comportement, y compris sexuel, qu’elles choisissent, tant qu’elles sont heureuses dans ce choix et que leurs actions ne nuisent pas à d’autres.
Cette position pourrait modifier profondément notre approche de la lutte contre l’homophobie et la forme de nos revendications contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle.
Lisez le suite de l’article (en anglais)